Aujourd’hui, Didier Porte revient sur l’émission «On n’est pas couché» du 18 mars et sur les révélations du livre de Marine Turchi (de Mediapart) «Marine est au courant de tout…» sur l’ent
Au sommaire du JT rythmé de la Parisienne Libérée : fièvre électorale, annonce bienveillante d’une interdiction de séjour généralisée, conversation politique au bord de l’eau et spot promotionnel de la Finance Philosophe® contre les excès de la biodiversité – sans oublier la météo nucléaire.
Plusieurs partis ou mouvements politiques ont fait figurer dans leur programme des dernières élections le rétablissement du service national obligatoire, et Emmanuel Macron a annoncé son réta
Communiqué : La CPME ne s’explique pas que le gouvernement envisage la suppression du TEG pour les professionnels
Le Taux Effectif Global (TEG) permet de connaître, en toute transparence, le coût réel d’un emprunt bancaire en affichant, notamment, le coût de l’assurance emprunteur. Il s’agit donc d’un affichage très utile pour parfaitement savoir à quoi l’on s’engage.
Et pourtant, le projet de loi pour un État au service d’une société de confiance actuellement examiné par l’Assemblée prévoit la suppression, pour les entreprises, du Taux Effectif Global.
Il s’agirait là d’un recul inadmissible au regard de la transparence bancaire.
Alors que la tarification bancaire demeure complexe pour beaucoup de chefs d’entreprise, la suppression du TEG leur retirerait un élément de comparaison très utilisé par eux.
Ainsi selon une enquête menée par la CPME portant sur plus de 400 chefs d’entreprise, 85% le prennent en compte quand ils empruntent. Pour 78% il permet de comparer les offres et il est source de négociation pour 60% d’entre eux.
A l’heure où l’on souhaite simplifier la vie des entreprises et faciliter leur financement, la suppression du TEG, présentée comme une simplification, serait un bien mauvais service rendu aux TPE/PME.
Et pourtant, le projet de loi pour un État au service d’une société de confiance actuellement examiné par l’Assemblée prévoit la suppression, pour les entreprises, du Taux Effectif Global.
Il s’agirait là d’un recul inadmissible au regard de la transparence bancaire.
Alors que la tarification bancaire demeure complexe pour beaucoup de chefs d’entreprise, la suppression du TEG leur retirerait un élément de comparaison très utilisé par eux.
Ainsi selon une enquête menée par la CPME portant sur plus de 400 chefs d’entreprise, 85% le prennent en compte quand ils empruntent. Pour 78% il permet de comparer les offres et il est source de négociation pour 60% d’entre eux.
A l’heure où l’on souhaite simplifier la vie des entreprises et faciliter leur financement, la suppression du TEG, présentée comme une simplification, serait un bien mauvais service rendu aux TPE/PME.
Communiqué : La Banque de France et la CPME signent une convention pour mieux accompagner les TPE-PME
Mercredi 7 février 2018, Denis Beau, Sous-Gouverneur de la Banque de France et François Asselin, Président de la CPME, ont signé une convention de partenariat destinée à valoriser l’esprit d’entreprendre, soutenir les TPE dans leur développement et les accompagner dans la prévention des difficultés.
Au travers de cette convention, il s’agit de développer les relations au niveau national et local entre les correspondants TPE de la Banque de France, qui depuis septembre 2016 ont déjà accompagné 3 000 dirigeants et la CPME qui regroupe près de 150 000 adhérents, chefs d’entreprises patrimoniales.
Cette convention permettra de mieux orienter les dirigeants de TPE entre la Banque de France et les CPME locales, pour répondre à leurs demandes et en fonction des services proposés par les deux institutions.
Cette collaboration devrait donc permettre de mieux répondre localement aux besoins d’information et d’accompagnement des chefs d’entreprise, ce qui est au cœur des préoccupations de nos deux organisations.
Au travers de cette convention, il s’agit de développer les relations au niveau national et local entre les correspondants TPE de la Banque de France, qui depuis septembre 2016 ont déjà accompagné 3 000 dirigeants et la CPME qui regroupe près de 150 000 adhérents, chefs d’entreprises patrimoniales.
Cette convention permettra de mieux orienter les dirigeants de TPE entre la Banque de France et les CPME locales, pour répondre à leurs demandes et en fonction des services proposés par les deux institutions.
Cette collaboration devrait donc permettre de mieux répondre localement aux besoins d’information et d’accompagnement des chefs d’entreprise, ce qui est au cœur des préoccupations de nos deux organisations.